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LIRE: Deutéronome 4: 9-24
“Bénis le Seigneur, ô mon âme, et n’oublie pas tous ses bienfaits:“ – Psalme 103:2
Un jour, un frère qui avait mis en place un festival de chorale de masse intellectuelle est retourné sur le campus pour rendre visite. Il a été accueilli à la porte par un huissier qui, de toute évidence, ne savait pas qu’il parlait à l’un des fondateurs de ce qu’il appréciait et gérait. Il a été traité comme un étranger ordinaire et précipité à la hâte à l’arrière de la salle. Tel est le sort du fondateur.
De nombreuses églises ne se souviennent pas de leurs fondateurs. La mémoire du fondateur s’estompe au fil des années. Son nom est repoussé et tout ce qui leur rappelle le passé est effacé. Le pasteur actuel aime être considéré comme le luminaire qui a atteint la gloire que l’on voit aujourd’hui. Ces personnes ont oublié le travail que le fondateur a fait pour que l’église existe.
Le travail d’un fondateur est la partie la plus difficile à faire. Il est enterré dans le sol et beaucoup ne le voient pas. De nombreux fondateurs sont des individus marqués et blessés. Ils reçoivent le plus de critiques et le moins d’appréciation. Leurs familles ne sont pas exemptées de ce traitement. Ils sont souvent mis de côté et oubliés. Peut-être ont-ils payé un prix tout aussi élevé au père pour jeter les fondations qu’il a faites. À la mort des fondateurs, beaucoup sont émus de compassion pour les familles et déclarent qu’ils créeront des fondations et des fonds fiduciaires pour prendre soin de la famille. Malheureusement, avec le temps, le zèle pour la mise en place de ces fondations et la mobilisation de l’argent nécessaire se flétrit et s’envole. La famille doit se débrouiller seule et se battre pour sa survie.
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